L'AFNIC publie un dossier entre les NDD et le référencement

WRInaute accro
Plus que jamais, le "nerf de la guerre" en matière de succès sur internet reste la capacité des entreprises à attirer des visiteurs sur leurs sites web pour leur faire découvrir leurs contenus et/ou leurs offres commerciales. Créer du trafic est ainsi l'une des principales préoccupations des éditeurs de sites internet et cette priorité se traduit en budgets de communication spécifiques de plus en plus conséquents.
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Le présent dossier, réalisé par Olivier Andrieu et publié par l'AFNIC, s'efforce d'apporter des éléments de réponse qui intéresseront toutes les entreprises désireuses d'optimiser leur présence sur internet

Téléchargez le dossier "Noms de domaine et référencement"
 
WRInaute discret
Document de l'AFNIC sur le référencement et les domaines

Il y a trois choses qui m'interpellent:
- Le document recommande l'enregistrement de domaines en .fr (ce qui n'est pas pour déplaire à l'Afnic, qui avait commandé cette étude) pour le référencement. Sans mentionner le risque de se trouver en sandbox.

- Le document recommande l'usage des tirets pour le référencement, mais n'est-ce pas inutile (voire nuisible à partir de 3 tirets ou plus) pour le référencement et dans tous les cas un handicap pour une éventuelle revente ? Peut-être est-ce pour ne pas que les acheteurs se tournent vers des extensions concurrentes., vu que sans tiret, presque tout ce qui a de la valeur est déjà enregistré en .fr ?

- L'auteur ne parle pas du plus important pour le positionnement d'un site, qui est l'histoire du domaine (son âge, ses backlinks, etc.). Mais il n'évince pas tout à fait le sujet puisqu'il nous dit qu'une 301 fonctionne "parfaitement dans les moteurs" pour conserver le positionnement de l'ancien site. Pourtant, il y a des milliers de posts dans les forums où les webmasters se plaignent de l'inefficacité de leur 301, et, jusqu'à preuve du contraire, le résultat est aléatoire et ne marche jamais "parfaitement" (c'est-à-dire avec un pr répercuté dans les mois suivants et un positionnement conservé sur les 3 ou 4 principaux moteurs).

Ce document aura eu toutefois l'avantage de tenter de rapprocher les professionnels du domaine et ceux du référencement. Si l'on en croit les cadors, les spécialistes du référencement ont tout intérêt à s'intéresser aux noms de domaine. Mais pas au marché primaire, qui n'a un réel intérêt que pour les apprentis domaineurs. Il est préférable d'investir dans les domaines de qualité, avec un certain âge, une extension prisée (.com, .fr ou .net), de préférence sans tiret et sur des termes génériques.
 
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